Invalides, soirée placée sous le haut patronnage du Ministère français de la défense

Dans le cadre de la diffusion de la série Frères d’armes proposée par Tessalit productions et le groupe de recherche ACHAC à partir du vendredi 30 mai 2014, une invitation m’a été adressé afin d’assister au lancement et la présentation de l’avant-première prévue pour le 21 mai dernier aux Invalides, haut lieu de la défense où se trouve le tombeau de Napoléon 1er. Très surpris, j’avoue que je n’avais pas dormi de la nuit, d’autant plus que cette date coïncidait avec la mort du Général de BARRAL en 1850. Etonnant, n’est-ce pas ?

Placée sous le haut patronage du Ministre de la défense Jean-Yves LE DRIAN, cette avant-première eut lieu dans les salons privés De Monsieur Hervé CHARPENTIER, Général Gouverneur de Paris, en présence de nombreuses personnalités de tous horizons confondus : politique – la Ministre Najat VALLAUD-BELKACEM, gouvernement – Kader ARIF, Secrétaire d’état du Ministre de la défense, cinéma – le réalisateur Rachid BOUCHAREB (initiateur du projet), Rémy PFLIMLIN – Président directeur général de France Télévisions, et de bien d’autres acteurs, écrivains et artistes dont la liste est longue.

Après la cérémonie d’ouverture, faite de discours et d’inauguration des deux expositions sur les anciennes colonies françaises, place à la projection de films et au cocktail. Il faut dire que cette avant-première a d’ores et déjà remporté un franc succès.

De cette soirée, je garde de magnifiques souvenirs : du Général gouverneur de Paris, fort sympathique et d’une grande humilité avec lequel je m’étais entretenu sur divers sujets dont mon livre qu’il semble connaître déjà, jusqu’à Rachid BOUCHAREB et Jean BREHAT avec lesquels il y eut de brefs, mais fructueux échanges. Très intéressant.

Merci au groupe de recherche Achac de la considération témoignée à mon travail en m’invitant à un tel évènement, ainsi que de l’envoi des photos – mon appareil ne fonctionnant plus ; Comme je remercie le Gouverneur Général de Paris de l’importance accordée à mon ouvrage sur ma commune natale, ainsi que de l’accueil chaleureux dans ses salons privés.

Allaoua KHERIB